Une nouvelle étude affirme que le composé qui donne le piquant au gingembre aurait un réel impact physique sur notre immunité en mettant en état d’alerte les globules blancs.
L’étude de l’équipe du "Leibniz-Institut für Lebensmittel-Systembiologie an der Technischen Universität München" (le Leibniz-LSB@TUM de Munich) est publiée dans Molecular Nutrition & Food Research. Notre système immunitaire est effectivement soutenu par le gingembre et plus spécifiquement par son composé piquant, le composé chimique gingérol. L’étude montre également qu’un type de récepteur qui joue un rôle dans la perception du goût épicé des aliments est impliqué dans le processus.