Le djihadiste Seïf al-Adl, ancien membre des Forces spéciales égyptiennes basé en Iran, est le chef d’Al-Qaïda depuis qu’Ayman al-Zawahiri a été tué à l’été 2022, selon le département d’État américain.
Téhéran a réagi à cette annonce en dénonçant des "désinformations" et en jugeant "risible" de "lier le chef d’Al-Qaïda à l’Iran". "Les créateurs d’Al-Qaïda et du groupe État islamique sont responsables de la croissance du terrorisme dans le monde", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, en mettant en cause les États-Unis.