L’adage dit : les plus courtes sont les meilleurs. Pour nos rockeurs, pas toujours et l’idée de couper un titre en plusieurs morceaux, c’est justement pour le rendre plus digeste, pour en faire plusieurs chapitres courts plutôt qu’une plage à rallonge.
Tout au long de sa carrière, Pink Floyd a proposé de longs titres et a aussi proposé des titres divisés en plusieurs parties. Exemple le plus célèbre de cette "découpe", c’est le fameux "Another Brick In The Wall", sur "The Wall" en 1979. Dans la partie 1, Roger Waters pose le cadre de ce qui va se confirmer sur la partie 2, le décès du père de Pink, protagoniste de ''The Wall''. La troisième partie introduit le titre ''Goodbye Cruel World''. Dans un tout autre style, James Brown nous a scindé aussi des titres, notamment “Soul Power” en 1971, ''Get Up (I Feel Like Being a Sex Machine)'' sorti en 1970 sur l’album “Sex Machine” et divisé en deux parties sur sa version 45 tours.