D'ailleurs que fait la police ? Selon une étude du Gracq - Les cyclistes au Quotidien à Liège -, un vélo volé sur dix est retrouvé. Dans 31 % des cas par une action de la personne volée, 17 % grâce aux réseaux sociaux et 9% par la police.
Le citoyen arrive à des résultats plus élévés par rapport à nos missions qui sont très larges et très diversifiées.
Gilles Lepage, commissaire à la Police de Liège, estime que "Le citoyen connaît le bien qui lui a été dérobé. Et s'il y accorde une attention particulière soutenue, il recherche un objet qu'il connaît précisément, dans un environnement qu'il connaît. Donc, c'est normal, c'est compréhensible en tout cas, qu'il arrive à des résultats plus élévés par rapport à nos missions qui sont très larges et très diversifiées."
J'insiste plus que jamais sur le dépôt de plainte.
La communication d'un vol sur internet est donc positive. Elle a l'avantage de la rapidité.
Le Commissaire, Gilles Lepage, est pour cette façon de procéder. Mais il veut rester "prudent. Car je pense que le citoyen a parfaitement le droit de diffuser l'information, d'utiliser les réseaux sociaux. Habilement, de manière concertée avec les services de police." Et il insiste " plus que jamais sur le dépôt de plainte".