Généralement, après une belle victoire, une prestation saluée par tous, les joueurs arrivent aux micros tendus des journalistes pour nous livrer un classique indémodable : "Il faut garder les pieds sur terre ", souvent automatisé, parfois soufflé par les communicants.
Mais si, finalement, ce réflexe de temps en temps raillé, était juste ? Et si on leur donnait raison ? Après ce premier rassemblement made in Germany, de Domenico Tedesco à Cologne, si rafraîchissant, enrichissant, parfois euphorisant, on a donc cherché cinq bonnes raisons de rester, ou revenir, les pieds sur terre.