Les femmes cumuleraient sédentarité accrue et inactivité physique, un combo néfaste pour leur bien-être physique et psychologique mais aussi pour leur vie sociale. C'est ce que révèle une nouvelle étude, qui pointe du doigt de nombreuses inégalités entre hommes et femmes sur le plan de la pratique physique et tend à montrer que l'inflation pourrait à terme renforcer ce phénomène.
Toutes les études publiées depuis la fin des confinements semblent unanimes en France comme en Europe, et même à l'échelle mondiale : la sédentarité apparaît de plus en plus comme le nouveau mal du siècle et ce, pour l'ensemble de la population, même si les femmes sont davantage touchées et impactées.
La dernière édition du baromètre Sport-Santé (France) en collaboration avec Ipsos, révèle qu'une femme sur deux se sent plus sédentaire qu’avant l'année 2020, qui correspond au début de la pandémie de Covid-19. Un constat à mettre en regard avec un autre chiffre inquiétant : une femme interrogée sur trois déclare ne pas pratiquer du tout d’activité physique.