Lorsque les chercheurs se sont intéressés aux effets des prédispositions génétiques envers la maladie, ils ont trouvé que ceux qui affichaient le risque génétique le plus élevé étaient deux fois plus susceptibles de développer la maladie par rapport à ceux qui affichaient un risque moindre. Les participants qui avaient la moins bonne hygiène de vie étaient plus susceptibles (+18%) de développer la maladie par rapport aux personnes qui avaient la meilleure hygiène de vie.
Les participants qui avaient les trois facteurs de risques (risque génétique élevé, mauvaise hygiène de vie et obésité) étaient 14,5 fois plus susceptibles de développer un diabète de type 2, en comparaison avec les sujets qui affichaient un poids normal, un faible risque génétique et une bonne hygiène de vie.
"Les résultats suggèrent que la prévention en matière de diabète de type 2 en mettant en place le contrôle du poids et une bonne hygiène de vie est primordiale", expliquent les chercheurs.
"De plus, nous avons trouvé que les effets de l’obésité sur le risque de diabète de type 2 dominent les autres facteurs de risque, soulignant l’importance du contrôle du poids pour prévenir le diabète sucré."