Les joueurs de football de haut niveau, à l'exception des gardiens de but, ont depuis un siècle un risque accru de développer une démence par rapport à la population générale, selon une étude suédoise d'envergure
Des experts ont estimé que l'étude apportait "une preuve convaincante" du lien entre le sport le plus populaire au monde et un risque accru de troubles dégénératifs du cerveau. Ce lien avait déjà été mis en lumière par la mort en 2020 de Nobby Stiles, champion du monde en 1966 avec l'Angleterre et atteint de démence, et par d'autres cas concernant des sports comme le rugby, le football américain ou le hockey sur glace, à cause des chocs subis à la tête par les joueurs.