Carte postale du pays, les thermes hongrois gourmands en énergie se battent pour rester dans le paysage, entre explosion des factures et morosité économique. Le monde entier connaît les bâtiments pastel à l'architecture Belle époque ou Art Nouveau entourant des bassins où les joueurs d'échecs s'affrontent bonnet de bain sur la tête dans de la vapeur d'eau.
Mais faire tourner ces établissements mythiques "devrait coûter 170% de plus en 2023 par rapport à l'année dernière", prévient Edit Reffy, la porte-parole de Budapest Spas, société qui gère les thermes de la capitale.