Les victimes de violences physiques ou psychologiques seront bientôt informées, si elles le souhaitent, de la libération de leur agresseur présumé. Une proposition de loi de la députée Sophie De Wit (N-VA) introduisant cette mesure a été approuvée à l’unanimité mercredi en commission de la Chambre.
A l’heure actuelle, les victimes ne sont informées que des congés pénitentiaires ou de la libération définitive de leur agresseur lorsque celui-ci a été condamné pour ces faits.