L’homme fort du Mali, le colonel Assimi Goïta, a indiqué mardi avoir déchargé de leurs prérogatives le président et le Premier ministre de transition arrêtés la veille par les militaires, en les accusant de tentative de "sabotage" de la transition. Assimi Goïta a aussi indiqué, dans une déclaration lue à la télévision publique par un collaborateur en uniforme, que "le processus de transition suivra son cours normal et que les élections prévues se tiendront courant 2022".
Coup d'État au Mali : le Conseil de sécurité de l'ONU condamne l'éviction des autorités de transition
Le Conseil de sécurité de l'ONU a condamné mercredi, dans une déclaration adoptée à l'unanimité, l'éviction par les...