En pleine crise, le Paris Saint-Germain et son entraîneur Christophe Galtier ont trois matches de Ligue 1, contre Lille dès dimanche, puis Marseille et Nantes, pour se redresser et tenter d’arracher ensuite en Bavière la qualification au Bayern Munich en Ligue des champions.
Le PSG n’a jamais perdu quatre rencontres d’affilée depuis l’arrivée des Qataris, à l’automne 2011. La révolte est obligatoire contre le Losc, pour ne pas laisser l’OM, deuxième à cinq points, se rapprocher et rêver d’une balle de set le 26 février dans le classique.
Paris doit surtout relancer la machine dans l’espoir de renverser l’ogre bavarois en huitième de finale retour, après la déconvenue au Parc des Princes mardi (0-1).
Éliminé de la Coupe du France, justement chez son grand rival marseillais (2-1), le PSG a au moins "aéré le calendrier", image Galtier, et disposera de deux semaines complètes de travail, une avant le classique au Vélodrome, et une avant la réception de Nantes.
"Dans ces moments difficiles, je ne le cache pas, il faut se réfugier dans le travail, et encore plus", insiste le technicien, fragilisé après les trois défaites de son équipe.