Aurélie Clamot travaille à Bruxelles. Avec les transports en commun, elle passerait deux heures dans les transports de porte à porte pour se rendre au boulot. Avec la reprise du travail en présentiel, la jeune femme envisageait de retourner au bureau trois jours par semaine. La hausse des carburants est passée par là, et elle a revu son choix. Sa voiture roule au LPG, une aubaine, ce carburant reste nettement moins cher que le diesel, mais il a tout de même vu son prix exploser ! Ce sera donc trois jours à la maison en télétravail, et deux à Bruxelles avec les collègues. Et c’est toute l’organisation quotidienne qui est repensée. Plus de déplacements inutiles, Aurélie rentabilise ses trajets, et réfléchit à deux fois avant de saisir ses clés de voiture.
... on se rend compte qu’avant, nous n’avions pas de bonnes habitudes. On fait énormément de trajets inutiles.
Une véritable prise de conscience, motivée par le coût des carburants, qui à son niveau, fait aussi du bien à la planète. "Maintenant que l’on se penche sur la question, on se rend compte qu’avant, nous n’avions pas de bonnes habitudes. On fait énormément de trajets inutiles." Beaucoup de bon sens, surtout, qui à la fin du mois, fait la différence.