Les tests approfondis effectués sur les échantillons d’urine prélevés sur les quatre jeunes qui s’étaient sentis mal mercredi lors du festival pour adolescents We R Young à Hasselt n’ont révélé la présence d’aucune substance nocive. Les résultats des analyses effectuées par le laboratoire de la police judiciaire sur les échantillons de sang prélevés à la demande du parquet du Limbourg sont, quant à eux, toujours attendus.
Il n’y a à ce stade aucune preuve formelle reliant ces événements au nouveau phénomène appelé "needle spiking". Des analyses plus approfondies ont été menées dans un second temps par l’hôpital de Hasselt où quatre jeunes gens avaient été conduits. Un cinquième adolescent s’était rendu, quant à lui, dans un autre établissement.