Une première tranche d’argent européen promise dans le cadre du plan de relance est arrivée dans les caisses de l’Etat belge. Ce financement conditionnel doit servir prioritairement à la transition environnementale avec un volet important consacré à la mobilité.
Désengorger les accès à la Capitale pour ceux qui y travaillent
Pour Thomas Dermine, secrétaire d’État pour la Relance et les Investissements stratégiques, le plan de relance est une opportunité à saisir : "les rejets de C02 liés au transport représentent plus de 20% de nos émissions et donc il faut investir massivement dans l’infrastructure de la mobilité douce si on veut réussir la transition climatique". Via le plan de relance européen, ce sont près de 400 millions d’euros qui serviront à financer des infrastructures cyclables un peu partout en Belgique. Une partie de ce budget sera consacrée au principal défi de la région bruxelloise sur le plan de la mobilité, à savoir désengorger les accès à la Capitale pour ceux qui y travaillent en journée.