Lait, œufs, biscuit, chocolat... Les pendants bio à l'alimentation conventionnelle ne séduisent plus. Alors que l'inflation touche la population belge, qui n'a pas d'autre choix que de prêter attention à ses dépenses, l'agriculture biologique ne peut plus justifier ses prix par une valeur ajoutée.
Le bio d'hier, qui n'affichait qu'une dimension écologique, doit désormais intégrer des valeurs sociale, nutritionnelle et de bien-être animal pour compter demain.