"Pouvoir se téléporter est un fantasme" confie Michel Bussi, auteur de la Nouvelle Babel

Dans ce nouveau roman, Michel Bussi vous plonge au cœur des nouvelles technologies où la frontière entre le réel et la fiction n’existe pas…

" La première téléportation a lieu en 1997, évidemment ce ne sont pas des personnes ou de la matière, mais bien des bouts de lumière dont il était question. Dans ce livre je parle du fait qu’une fois inventé, c’est allé très vite. On a commencé à téléporter des objets, petits, gros et ensuite des humains".

L’auteur évoque, 1000 après la première téléportation, une période où l’Homme peut se téléporter d’un endroit à un autre, physiquement, grâce à un bouton se trouvant sur un bracelet que tout le monde porte. Michel n’a pas voulu parler de réalité virtuelle pour permettre à chacun de s’imaginer dans cette réalité.

" Pouvoir se téléporter en ayant tous les sens, c’est-à-dire physiquement ressentir le fait d’être ailleurs, serait assez génial. C’est l’un des derniers fantasmes qu’on peut avoir en tant qu’être vivant".

Cependant, ces avancés n’aident pas toujours au développement du monde… En 2097, des retraités sont assassinés sur une île privée paradisiaque… Trois policiers sont chargés de l’enquête. Un journaliste et une institutrice les rejoignent dans une course effrénée vers la vérité.

Leur objectif ? Préserver l’équilibre d’un monde où la technologie permet aux humains d’être à plusieurs endroits en même temps…

En traitant le monde actuel de manière absurde, Michel imagine un monde en 2097 sans pays, gouverné par une seule puissance et ce pour le meilleur, et pour le pire…

Du lundi au vendredi, retrouvez l’invité du jour dans Le 8/9 à suivre sur VivaCité et en télé sur La Une. Pour connaître le programme de la semaine, c’est par ici.