Faut-il prolonger ou non la vie de réacteurs nucléaires belges ? La question semblait politiquement tranchée au début du siècle, notamment pour Doel 1 et Doel 2, les plus anciens. Ceux-ci n’ont pas été démantelés, comme prévu, en 2015. Ils ont bénéficié d’un prolongement de dix ans, une décision politique que la Cour constitutionnelle a annulée, tout en maintenant ses effets jusqu’à la fin de 2022. La Cour impose une nouvelle loi pour valider le prolongement initialement prévu et a ajouté une obligation : évaluer l’effet des activités d’une vieille centrale sur l’environnement.
►►► À lire aussi : Sortie du nucléaire : la moitié de l’Europe consultée dès le 15 avril sur la prolongation de Doel 1 et 2