Normalement seul le citoyen peut avoir accès à ses propres données, celles dont il est le propriétaire. Si une source externe souhaite y avoir accès ou que l’on veut mélanger nos données, que la sécurité sociale ait accès à nos données de santé, il faut un cadre légal et ce projet est tout sauf légal. Le Soir est très clair à ce sujet.
La Smals est en roue libre, elle n’a ni mandat, ni contrôle politique. Ce projet a débuté en 2018, mais personne ne l’a réclamé, pas de commande rien. C’est une idée, un fantasme même, de techniciens
Ce projet n’a donc aucune existence légale et ses fondateurs en sont bien conscients. Dans le rapport que le journal le Soir a obtenu, on apprend que la Smals compte sur son patron, Frank Robben pour changer les règles et faire valider le projet.
Faire valider le traitement des données ; comme il l’a fait pour le testing, le tracing, et la vaccination durant cette crise sanitaire. Un traitement qui va déjà à l’encontre du RGPD.