"Lehecka, je l'ai joué il n'y a pas longtemps, à Monte-Carlo", a-t-il expliqué. "Cela s'était bien passé (NdlR : il s'était imposé 6-4, 6-3). J'arrivais en confiance, après ma victoire à Marrakech. J'aurai donc peut-être, un petit ascendant psychologique sur lui. Après, cela reste un premier tour d'un Grand Chelem, avec des différences en ce qui concerne la pression et la motivation. Il est capable de jouer à un très bon niveau, et il a de grosses frappes. Il faudra tâcher de le contrer intelligemment, comme j'ai réussi à le faire à Monaco."
Requinqué après son titre conquis sur la terre battue de Marrakech, début avril, après une période très compliquée, David Goffin espère pouvoir confirmer ses bonnes dispositions à Paris, où son meilleur résultat reste une accession en quart de finale, en 2016, contre l'Autrichien Dominic Thiem.
"Roland-Garros est un rendez-vous important pour beaucoup de monde", a-t-il poursuivi. "J'ai moi aussi des attentes, mais je ne veux pas me mettre trop de pression. Je me sens bien, les entraînements étaient bons. J'espère jouer mon meilleur tennis et encore vivre de belles émotions."