En Grèce, l'ancien ministre des Transports sous le précédent gouvernement de gauche (Syriza), Christos Spirtzis, a saisi vendredi la justice pour "tentative" de surveillance de son téléphone portable via le logiciel illégal Predator.
Cette nouvelle accusation s'ajoute à plusieurs révélations de mise sur écoutes par les services de renseignement grecs (EYP) de deux journalistes, et de Nikos Androulakis, chef du troisième parti parlementaire, le socialiste Pasok-Kinal.
Christos Spirtzis affirme avoir reçu le même SMS qui avait infecté avec le logiciel Predator les téléphones du journaliste grec Thanasis Koukakis et du leader socialiste.