Les secours "ne vont pas aussi vite qu'espéré", a pour la première fois reconnu vendredi le président turc Recep Tayyip Erdogan, cinq jours après le séisme qui a tué plus de 22.000 personnes en Turquie et en Syrie.
"Les destructions ont affecté tellement d'immeubles (...) que malheureusement, nous n'avons pas pu conduire nos interventions aussi vite qu'espéré", a déclaré le chef de l'Etat en visite dans la ville d'Adiyaman (sud), très affectée par la catastrophe.
Recep Tayyip Erdogan avait déjà reconnu mercredi des "lacunes" dans la réponse apportée au séisme, ajoutant qu'il est "impossible d'être préparé à un désastre pareil".