C’est sur les différentes dimensions de la vie de Jacques Tati et de son travail de cinéaste (qui suscite l’admiration tant il s’investit sur ses projets en allant jusqu’au bout de ses ambitions esthétiques) que Jean-Louis Dupont s'attarde, en compagnie de Stéphane Goudet, fin connaisseur de l’œuvre de Jacques Tatischeff :
C’est un des cinéastes qui a le mieux capté la modernité de l’époque, le passage d’une France rurale ('Jour de fête') à une France moderne en train de se convertir à l’architecture internationale ('Playtime').