Le sexe écoresponsable ou le green sex : le concept séduit de plus en plus d’adeptes et lorsque le sexe et l’écologie se marient, ils font aussi des petits. Tout un commerce s’est développé autour de ça. La liste des accessoires est longue. Il y a tout d’abord les sous-vêtements, les draps en coton ou en lin équitable, pour être vert jusqu’au bout de la couette. Ensuite, il y a les préservatifs version bio qui séduisent pas mal. Les préservatifs classiques sont à base de latex, de caoutchouc et plein de substances chimiques. Leur version verte est en latex bio, sans paraben, vegan et sans produits toxique
Les sex-toys écolos ont aussi la cote. Tout d’abord ceux qui ne contiennent pas de phtalates, pas de perturbateurs endocriniens. Les jouets en silicone, plutôt qu’en plastique, ont aussi fait leur apparition et pour batifoler en émettant moins de carbone, il y a aussi les sex-toys sans piles, qu’on peut recharger via USB, ou encore des vibromasseurs solaires, avec de mini-panneaux photovoltaïques.
Bref c’est un vrai business. Mais c’est aussi un mode de vie défendu par de nombreuse ONG comme Greenpeace. Pour des ébats langoureux avec moins d’émissions de carbone, il y a aussi des pratiques à préconiser, comme faire l’amour à l’air libre par exemple. Si vous optez quand même pour le confort de la chambre à coucher, les adeptes du green sex recommandent d’éteindre la lumière, de préférer la bougie.
Autre conseil : prendre plus de douches à deux, pour partager l’eau, mais attention évidemment avec modération sinon ça ne sert à rien.
Green sex et écosexe, pas le même combat
Certains poussent leur amour de la planète un peu plus loin et optent non pas pour l’écosexe. Le concept est simple : quitte à aimer la planète autant le prendre au pied de la lettre et carrément faire l’amour avec la Terre. Le mouvement existe depuis le début des années 2000 et il a quelques adeptes. Ils enlacent sans honte les arbres, massent la Terre avec leurs pieds et parlent aux plantes érotiquement. Par exemple, ils atteignent le 7e ciel lorsqu’un moustique les pique ou encore quand ils se font caresser par des fougères.
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