Le suivant, Mathilde, la femme de Pierre s’avèrera " très autobiographique, quand même " lâche Stephan Streker. " Il y a un petit garçon... Pour faire court, c’est moi " avant d’ajouter : " Pourquoi, je raconte tout ça ?" Un ange passe… Les dons d’accoucheur du praticien Jérôme Colin, peut-être ? " Et donc, c’est une femme qui trompe son mari ". Ce second court métrage est produit par Michaël Goldberg qui poursuivra l’aventure avec son nouveau poulain. Là où on ne l’attendait pas… Dans la peau du personnage principal du premier long de Stephan, " Michael Blanco ", une fiction aux allures de documentaire réalisée en 2005. " C’est le film dont je suis à peu près le plus fier. Ca a été de la folie intégrale. En fait, on a bénéficié de notre inexpérience, de notre naïveté, voire de notre bêtise. S’il n’y avait pas eu tout ça, on ne l’aurait pas fait " nous dit Stephan Streker.