"J'avais beaucoup imaginé la traversée et puis y être c'était bien. Ce n'était pas évident parce que marcher 600 mètres, se concentrer, avec tout ce qu'il y a autour, la pression, ce n'était pas facile, moins facile que ce que j'avais imaginé, comme je l'avais déjà fait mais c'était quand même beau", a-t-il déclaré.
"Aujourd'hui, la difficulté, c'était déjà d'installer cette ligne parce que techniquement c'est compliqué en termes d'autorisations", sans compter "le stress lié aux gens (...) au fait qu'il y ait beaucoup de monde", a-t-il relaté. "La motivation (...) est principalement de faire quelque chose de beau et de le partager et d'apporter un nouveau regard aussi sur le patrimoine, c'est rendre vivant le patrimoine", s'est-il réjoui.
Il avait déjà, lors de l'édition 2017 des journées du patrimoine -- durant lesquelles les Français sont invités à visiter des sites patrimoniaux habituellement fermés au public--, marché sur un fil tendu entre la Tour Eiffel et le Trocadéro.