Elle était attendue, cette Switch OLED. Plus de quatre ans après le lancement du modèle d’origine (et une première déclinaison " Lite " en 2019), Nintendo améliore enfin sa console. De quoi patienter en attendant la 4K ? Voici notre test
Une montée de gamme qui surprend
Ce qui frappe en premier lorsqu’on déballe cette Switch OLED, c’est la qualité de l’ensemble. Non pas que la Switch première du nom soit ratée, loin de là, mais comme tous les produits signés Nintendo, ça fleure bon le plastique. Sur cette version OLED, le plastique est certes toujours de la partie (les Joy-Con sont en tout point identiques aux précédents modèles), mais l’ensemble lorgne plus du côté des consoles portables de Sony, voire, dans une moindre mesure, d’un appareil que n’aurait pas renié Apple. C’est bien simple, la Switch de 2017 souffre de la comparaison et ressemble à un jouet à côté de cette version OLED.