Après des détours dans le monde de la pop, le multi-instrumentiste a souhaité revenir vers les styles musicaux qui l’ont bercé depuis l’enfance : le blues et le rock.
Pink Floyd, Supertramp, Led Zeppelin, Genesis… Thomas Frank Hopper a grandi en écoutant les groupes adulés par son père. Jusqu’à ses 17 ans, il vit avec lui en Afrique, dans les pays anglophones. Depuis tout petit, il est donc bercé par les musiques anglo-saxonnes. A son retour en Belgique, il rejoint des groupes de punk et de rock. Avant de monter Cheeky Jack avec cinq autres garnements, une formation aux accents pop.
"J'ai eu la chance de jouer avec ce groupe qui a pas mal tourné en Belgique, dans les festivals et même en radio. Il m'a ouvert pas mal de portes. C'est avec lui que j'ai vraiment pu faire mes armes ", assure le musicien né à Bruges. Après quelques années, il ressent malgré tout l’envie de proposer quelque chose de "moins commercial", de plus "sincère" dans les textes. "On n’avait plus la même vision. Je voulais me lancer dans un projet plus personnel et présenter mes propres compositions. J’avais envie de faire quelque chose qui me ressemblait davantage." Il se rapproche alors des artistes qu’il écoutait plus jeune : Ben Harper, John Butler Trio ou encore Arctic Monkeys.