Cyclisme

Tim Merlier ou l’art de lever les bras dès le premier sprint

© AFP or licensors

Par Martin Weynants

Tim Merlier n’a pas manqué ses débuts pour Soudal Quick-Step. "Dégainer" d’entrée, c’est une bonne habitude pour le champion de Belgique. Six de ses sept dernières victoires dans des courses à étapes ont été acquises dans le premier sprint massif.

Giro, Tour de France, Tour du Benelux, Tirreno-Adriatico, Tour d’Oman et UAE Tour, le trentenaire de Wortegem-Petegem a fait bingo d’emblée.

Des victoires qui n’en appellent pas souvent d’autres

Tim Merlier gère donc parfaitement la pression et la tension liées à ce fameux "premier" rendez-vous. Par contre, il éprouve plus de difficultés à enchaîner. Trop de relâchement, une fois l’objectif atteint ?

En tout cas avec lui, l’adage qui veut que le premier succès en appelle d’autres est démenti. Dans sa carrière, il a claqué sur dix courses différentes. Mais il n’a gagné deux étapes qu’à deux reprises (Tour du Danemark 2018 et Tour du Benelux 2021).

Évidemment, il ne gagne pas tous les premiers sprints des courses par étapes qu’il dispute. Mais la série est impressionnante. Trop pour qu’on puisse uniquement invoquer le hasard.

Ses adversaires sur Paris-Nice sont prévenus, il faudra se méfier de Merlier dès les premières étapes de la "Course au Soleil".

Tim Merlier, la fusée noir-jaune-rouge : "Je veux gagner Gand-Wevelgem et revenir à Roubaix pour faire un bon résultat"

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Tim Merlier l’emporte sur la première étape au Tour d’Oman

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