Chantal Goya le chantait très bien : " De tous les oiseaux de la terre qui volent au-dessus de la mer
il y en a un que je préfère. Il vole comme les avions, mange pour pêcher les poissons. Se pose comme un papillon.
Près des rivages ensoleillés, devant les plages abandonnées. Il vient chercher le déjeuner, qu’il rapporte à ses petits enfants qui attendent bien sagement leur petit papa pélican."