"Il y aura des d'occasions. En trois jours, il peut se passer beaucoup de choses. On commence tous à être fatigués, physiquement et mentalement", a souligné le vainqueur des deux dernières éditions.
"Je suis très motivé. Jonas est l'homme à battre. Il est super fort. Jusque-là je n'ai pas réussi à le décrocher mais si je force encore plus il finira peut-être par craquer", a-t-il encore dit.
Le Slovène ne compte en tous cas pas sur le contre-la-montre samedi entre Lacapaelle-Marival et Rocamadour (40,7 km) pour rattraper son retard. "Je ne parierai pas là-dessus. Jonas a prouvé qu'il était à l'aise dans cet exercice. Je dois combler mon retard d'ici là", a-t-il déclaré.
L'année dernière, Vingegaard avait d'ailleurs terminé 25 secondes devant lui sur un contre-la-montre de 30,8 km entre Libourne et Saint-Émilion.
Et s'il n'arrive pas à finir cette fois sur la haute plus marche du podium à Paris, Tadej Pogacar se fera une raison. "Ce ne serait pas la fin du monde. J'ai déjà gagné deux fois et terminer deuxième, avec le maillot blanc (du meilleur jeune) en prime, c'est pas mal non plus", a-t-il assuré.