Irem, le sous-traitant italien de Borealis, conteste que des ouvriers étrangers embauchés à Anvers soient en danger en cas de rapatriement. L'entreprise réagit ainsi aux déclarations de travailleurs asiatiques et turcs qui protestaient la semaine dernière contre leur éviction.
Les ouvriers, engagés par la société italienne Irem sur le site de l'entreprise chimique Borealis, dans le port d'Anvers, réclamaient des papiers de façon à pouvoir à nouveau travailler en Belgique. Les manifestants déclaraient qu'un retour dans leur pays correspondrait à une mise à mort, notamment parce qu'Irem entretiendrait des liens politiques avec le régime en place dans ces pays.