Trois conseils pour bien faire pousser son basilic

Originellement, le basilic est une vivace d’Amérique du Sud. En Belgique il doit beaucoup s’adapter. Lui comme beaucoup d’aromates aiment la chaleur et aussi de nombreuses heures de lumière par jour. 90% des plantes qui sont vendues dans les supermarchés ou dans les jardineries ont été entretenues sous serre chauffée avec des conditions parfaites, entre 25 et 28 degrés et 80% d’humidité.

"Voir mourir son basilic ne veut pas dire que l’on n’a pas la main verte !" rassure la chroniqueuse.

• On achète des graines, du terreau et on les fait pousser soi-même au bon moment, c’est-à-dire à partir de maintenant (en principe !) jusqu’en septembre. Sur sa terrasse ou dans son jardin, et ainsi les plantes restent dans le même milieu en permanence.
• Les acheter dans des pépinières qui les font pousser avec les conditions météo belges.
• On achète maintenant son basilic, on le consomme tout entier ou on sépare les tiges qui ont des racines solides de celles qui sont plus chétives. Ces dernières, on les place dans un verre avec de l’eau pour créer des racines plus grosses. On repique dans un plus grand pot et un nouveau terreau et on le laisse se développer. Pour le garder plus longtemps, on le cueille aux deux tiers.

A l’intérieur, sur sa terrasse ou dans son jardin, on peut dès que l’on dépasse les dix degrés, faire pousser de l’aneth, de la coriandre (vietnamienne), l’estragon, le laurier, le persil, la menthe… À nos pots !

► Découvrez l’intégralité de cette chronique dans le podcast de Tendances Première ci-dessus.