"Soit nous perdons en Ukraine, soit la Troisième Guerre mondiale commence", "Un missile Sarmat prendrait 200 secondes à atteindre Paris depuis Kaliningrad"... Ces mots n'ont pas été prononcés par des haut gradés de l'armée russe, mais par des journalistes sur un plateau de télévision.
Depuis plusieurs semaines, les médias en Russie semblent changer de ton à propos de la guerre en Ukraine. Un changement qui s'inscrit dans la ligne de la nouvelle stratégie de communication du Kremlin.