Si Cathy Portier a contracté le virus des perce-neige, c’est à son papa qu’elle le doit.
Tout le monde connaît les perce-neige. Mais chez Cathy, quand on les regarde de près dans les plates-bandes, on remarque vite des particularités par rapport à l’espèce la plus courante Galanthus nivalis . Des différences de hauteur, de formes de fleurs avec des pétales plus fins ou plus larges. Certaines d’entre elles poussent dès la mi-octobre et les plus tardives apparaissent en mai.
Cathy Portier : "Nous avons aménagé ici un jardinet d’hiver avec toutes nos perce-neige, environ 400 variétés différentes. Elles sont associées avec des hamamélis, des prunus, des hellébores. Et ainsi, lors des journées portes ouvertes, nous pouvons proposer une promenade hivernale."