Une personne LGBT+ sur trois a été victime de violence physique au cours des deux dernières années, selon une étude menée auprès de 936 personnes de cette communauté par l'hôpital universitaire de Gand et le "Transgender Infopunt" qui y est installé.
Cela va de la bousculade aux jets de projectiles, mais des cas plus graves, comme des étranglements, ont aussi été mentionnés.
Un nombre tout aussi important de personnes disent avoir été victimes de violence matérielle (destruction de biens, vitre de voiture cassée, etc.), de manière isolée ou à plusieurs reprises.