L’obligation vaccinale contre le coronavirus décidée en Autriche a suscité des interrogations au sein de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme concernant l’éthique et les modalités d’application de cette mesure.
►►► À lire : L’Autriche reconfine et instaure l’obligation vaccinale
L’OMS a souligné que les politiques en matière de vaccination relevaient de la compétence des Etats, mais qu’elle recommandait la stratégie consistant à convaincre le public de se faire vacciner plutôt que l’obliger. Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a également estimé que l’approche pédagogique concernant les vaccins devrait être privilégiée, notamment parmi les tranches marginalisées de la population et les personnes sceptiques.