Sur la côte des États-Unis, en Nouvelle-Angleterre, plus de 330 phoques ont péri l'an dernier. Les chercheurs présument que cette vague de décès est la conséquence d'une épidémie de grippe aviaire constatée dans la région à cette époque, ressort-il d'une étude de l'université Tufts, publiée dans la revue 'Emerging Infectious Diseases'.
La plus large épidémie de grippe aviaire à ce jour touche tous les continents et des millions d'oiseaux, dont des oiseaux marins, y ont succombé. Mais il est aussi avéré que le variant actuel 2.3.4.4b du virus H5N1 peut aussi contaminer et tuer des mammifères comme les visons, les renards ou les ratons laveurs. Toutefois, il s'agit plus souvent de cas individuels.
Cependant, des décès de masse sont régulièrement constatés, comme au Pérou où 3.500 otaries ont péri et autant au Canada dans la mer Caspienne.