Préambule. Cette série “Voici pourquoi” n’est pas destinée à débusquer le faux du bien ou le vrai du mal. Elle est une traversée subjective et imaginaire visant à remuer les potins et les popotins quitte à déclencher les ah (?), les oh (!) entre les rires et les bravos, de Daniel à Rio. Bon voyage…
On le sait cette Coupe du Monde est particulière. La première au Moyen Orient. La première dans un pays Arabe. La première au mois de novembre. La première pour Debast en tant que joueur. La première pour Marc Wilmots en tant que consultant en plateau. La première si proche du “All I want for Christmas” de Mariah Carey. La première en plein milieu du championnat. La première sans alcool. La première sans le Grand Jojo. La première avec 3 femmes arbitres. La première, l’esprit clair ?
Toutes ces premières, c’est un signe. Ce tournoi va forcément générer une énorme surprise. Une première. C’est quasi mathématique. Le Brésil, la France, l’Argentine, L’Uruguay sont en général pointés du Doha comme étant les favoris. Mais même Paul le Poulpe et Sepp la belette peuvent se tromper. C’est trop évident, cette fois le vainqueur sera une première.
Autre élément. Pour vraiment marquer l’histoire et donner à cette Coupe du Monde une étonnante finalité, une sorte de revanche du sport sur le business, il faudrait un vainqueur flamboyant. Une nation de la fête qui entamerait sur la pelouse du stade Lusail lors de la finale, une farandole sur l’air de “TicaliQatar TicaliQatar, ohé ohé”. Du panache pour un pays dont la religion principale est le football. Quelque chose qui ferait que dans 20 ans on aurait oublié cette Coupe de l’Immonde (en vente dans toutes les bonnes librairies) pour ne retenir que le vainqueur étonnant.