Le Mexique revient au calendrier cette année. La grande première donc des voitures hybrides sur les routes mexicaines. "C'est difficile à dire ce qui va changer par rapport au passé. On est en altitude, il fait très chaud, la mécanique souffre. On a eu des rallyes très chauds l'an dernier aussi donc je ne suis pas trop inquiet. Mais il est vrai que par le passé, on a rencontré des soucis ici jamais rencontrés auparavant", poursuit-il.
"Les routes ont énormément évolué depuis 2020. Elles sont beaucoup plus larges, ce n'est pas forcément ce que je préfère. Ca prend un peu de charme des routes que j'appréciais. Ils ont compacté les routes avec du gravier, c'est par moments un billard. C'est moins naturel et moins intéressant pour nous. Je préfère toujours les routes dans leur état de base. Ils ont retravaillé les routes et il y a parfois des gros cailloux proches de la route. Ils restent d'être sur la route quand on arrivera ou alors lors du deuxième passage. Le risque de crevaison ou d'endommager une suspension est très grand", analyse ensuite le Belge de 34 ans.
Et de conclure : "La clé du rallye, ça va être de passer cette première journée, la plus compliquée pour nous. On est 3e sur la route, faut essayer de rester dans le bon wagon malgré le balayage. Pour se préparer à ce rallye, on essaie de bénéficier de l'expérience acquise. Il y a cette année pas mal de changements sur lesquels on ne peut pas se préparer. On peut seulement s'imaginer, comme lors des tests privés réalisés en Espagne. Les conditions n'étaient toutefois pas celles qu'on aura ce week-end. Mon top 3 ? C'est très difficile à dire. Je vais me mettre en 2e position. Elfyn Evans en 1 et Sébastien Ogier en 3. Ca serait un bon résultat final pour nous."